A mes lectrices et lecteurs ...

Tout d'abord, un grand MERCI à ceux qui prennent le temps de faire un détour dans ma tête !

Évidemment, je sais bien que parmi vous, il y a des septiques sur ma vision de cette France que j'appelle de mes voeux à se révolter contre la dictature du pouvoir en place, ou simplement, de s'opposer à celui d'une seule personne, face à des millions d'autres ...

La DEMOCRATIE,

bien que j'y sois né et que j'y vive depuis plus de 44 ans, après de nombreuses années passées à écouter la Droite, la Gauche, et leurs extrêmes, je suis bien obligé de constater que le seul pouvoir qui survive à la politique est celui de l'argent, Roi de la société de consommation !

LIBRE, mais de qui, ou de quoi ...

Chaque nouveau jour qui passe égraine un peu plus notre liberté personnelle, remplacée par des contraintes et des interdits qui se multiplient plus vite encore que des lapins.

Libre ... j'en doute !

Piégé par notre confort, nos dettes, nos taxes, nos lois, plus stupides les unes que les autres, votées à la "va-vite" par des octogénaires assoupis, mous, incapables d'effectuer une simple addition, et qui prétendent avoir la clé de l'avenir de notre pays. La retraite, il y a longtemps que la plus part d'entre-eux devrait y être !!! 

Mais l'argent, est-il lui même démocratique ?

Si l'on part du principe que les deux tiers de l'humanité n'en a pas, alors non, l'argent n'est en aucun cas représentatif de la démocratie. Bien au contraire, son aspect exclusif et élitiste démontre à quel point il a simplement remplacé les avantages que s'appropriaient les nobles sur les gueux, et où le SMIC et le RSA ont pris la place de la poule au pot, quelle ironie !

Quand je repense à tous ceux qui se sont battus pour la liberté, l'égalité et la fraternité en faisant dont de leurs propres vies pour la notre, j'ai honte de constater que nous avons perdu le sens des valeurs et de la réalité dans mon pays, ou plus largement, partout où l'argent dicte sa loi.

Soulager notre conscience, voilà la seule motivation aux aides apportées au goutte à goutte, à ceux que nous avons exploités et dépouillés de leurs richesses et de leurs cultures durant des siècles d'oppression.

J'appelle cela, la tête dans le mur, comme la mienne ci-dessus.

Pas un mur de lamentations, mais plutôt celui de la sagesse et du questionnement ...